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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 23:41

La FED maintient sa politique de rachat d'actifs à hauteur de 85 milliards de dollars mensuels et à juste titre des taux directeurs proches de zéro.

Ces deux facteurs purement financiers, sont les seuls indicateurs que les Bourses mondiales retiennent pour s'orienter à la hausse et générer des "acheteurs" qui sont en surnombre.

Alors qu'une Crise mondiale sévit, les indices Boursiers s'envolent!

Un paradoxe!!

Down Jones au-delà de 15.000 points, cac 40 dépassant largement les 4.000 points et un Eurostock 50 qui a franchi la barre des 3.000 points!!

Les Bourses sont actuellement complètement déconnectés de l'Economie réelle, elles deviennent donc très dangereuses pour les Investisseurs moyen et long terme et font la joie des spéculateurs ainsi que le bonheur "dans les salles de marchés".

Cette situation na va pas perdurer.

Les indicateurs macro-économiques mondiaux sont en berne, le ralentissement de la croissance dans les pays émergeants, 7% pour la Chine,un petit 2% pour l'Inde, 1,5% pour le Brésil, démontrent que la période de croissance à deux chiffres pour ces pays est révolue.

La zone Européenne "patine" avec au mieux 1% de croissance prévue pour l'année 2014.

Les Etats_ Unis, au fur et à mesure que le temps passe, révise à la baisse leur prévision de croissance pour l'année à venir (2 à 2,5%).

Les facteurs et indicateurs précités démontrent deux choses:

A court terme, les Bourses mondiales vont chuter, car le gap entre les Economies réelles et les indices Boursiers va en grandissant et atteindra le niveau de l'aberration.

Cela, même le Capitalisme débridé voir sauvage, ne le supporte pas à long terme, or cette situation dure depuis maintenant plusieurs années.

La chute sera sévère.

D'autre part, jusqu'à quand les Gouvernants supporteront le "diktat" des Marchés?

Plus très logtemps à mon avis, car d'être des "marionnettes", les yeux rivés tous les jours sur l'état des Bourses mondiales et leur bon vouloir, n'à qu'un temps et fige totalement les actions politiques positives, toujours remises au lendemain de peur que les Bourses mondiales s'écroulent!

Une sérieuse régulation des "Marchés" me semblent nécessaire afin que les indices Boursiers aient de nouveau un sens qui n'est autre que la traduction de la réelle valeur des Entreprises, valorisation faite en fonction de leurs résultats et leur capacité à investir dans l'outil de Production.

Ce jour là les Bourses mondiales ne seront plus un miroir aus alouettes!

 

Gérard BURGGRAF






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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 22:39

Dans mon article précédent je vous ai indiqué pourquoi à mon avis, l'indice cac 40 ne répond pas en terme de cotation, à la réalité de la situation de l'Economie actuelle.

Pour le down jones et le nasdaq le constat est identique mais pour des raisons différentes:

respectivement plus de 15000 points et 3000 points à ce jour.

Un peu d'historique chiffrée:

35 % des américains ne possèdent pas de portefeuille Boursier!

30% des américains n'ont qu'environ 3000 usd en bourse sur le plan patrimonial!

32% d'américains possèdent un portefeuille Boursier dont le montant moyen correspond à 150.000 usd.

3% d'américains ainsi que des "founds" et autres hedge founds possèdent des portefeuilles et participations dépassant souvent le milliard de usd.

 

Quel est le processus américain qui est à l'origine de la fulgurante montée des indices Boursiers, sans que le citoyen en bénéficie ou si peu?

LE SYSTEME:

La FED injecte d'énormes liquidités non pas dans l'Economie réelle mais dans les banques.

Ces dernières prêtent 90% des fonds recueillis aux particulires les plus riches ainsi qu'aux fonds d'investissement qui disposent donc d'une "force de frappe" considérable et peuvent acheter des actions pratiquement sans limites.

LE SYSTEME EST PERNICIEUX CAR:

Quels sont les décideurs au niveau de la FED?

Surprise ou pas, ce sont les représentants des grandes banques et institutions.

On peut donc affirmer que ce petit cercle s'attribue les liquidités en quantité importante, sans être grandement importunné par quiconque.

Cela s'appelle un "Club" et hors ce Club les liquidités font défaut!!!

Bravo!! et vive la Bourse américaine ascendante!

 

Gérard BURGGRAF observateureconomique.com


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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 00:57

Il faut garder à l'esprit que les Entreprises cotées au cac 40 ne tirent pas l'essentiel des bénéfices de leur activité en France.

Elles sont positionnées sur les marchés émergents qui annoncent pour l'année 2013 une croissance de l'ordre de 5%, donc faiblissante.

Les profits de ces Groupes sont réalisés à l'étranger, dans des filiales, dont, pour l'instant et partiellement, on consolide les résultats avec leurs maisons "mères" situées en France.

Ces "maisons mères" sont donc survalorisées tout particulièrement au sein de l'indice cac 40 par rapport à la conjoncture Française.

Il me semble bon de préciser que ces Entreprises ont généralement intérêt à se rapprocher de leurs marchés, lieux où elles peuvent aussi minimiser artificiellement leurs profits.

A trop les taxer en France, elles commencent à "optimiser" leur régime fiscal et  rapatrient de moins en moins leurs profits.

Ne bénéficiant plus de la mane extérieure,leurs ressources vont se tarir dans leur pays d'origine,donc les dividendes se réduire comme peau de chagrin.

Ce processus mènera à une chute de la survalorisation de la plupart des Sociétés cotés au cac 40.

Un deuxième facteur essentiel est à l'origine de ladite survalorisation:

La présente "politique monétaire",car la baisse des taux d'intérêts fait mécaniquement augmenter le prix des actions, ce qui est le cas à l'instant T, mais ne subsistera pas éternellement.

Il me faut malheureusement conclure sur une note pessimiste à moyen terme, quant aux 4000 points affichés par le cac 40, alors qu'une valorisation raisonnable se situe aux alentours des 3000 points.

Je vous donnerai mon avis quant à la raison de la survalorisation actuelle des deux indices "phares" US, dans ma publication du samedi 1 juin 2013.

 

Gérard BURGGRAF  observateureconomique.over-blog.com


 




 


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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 00:08

Oui, l'échéance est proche.

 

Je demande à mes lecteurs de bien vouloir relire l'article que je cite en référence dans le présent titre.

 

Gérard BURGGRAF observateureconomique

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 01:59

Malheureusement mon blog devient au fil du temps, un "baromètre" de l'anticipation exacte.

Pessimisme disaient certains commentateurs!

Réalisme, telle a toujours été ma réponse.

Les évènements m'ont malheureusement donné raison, j'en suis triste.

Plus triste encore se présente la conjoncture Economique Mondiale quant aux 24 mois à venir et cela je l'ai indiqué dès le 18 octobre 2011 et confirmé dans mon article daté du 23 juillet 2012.

Il ne s'agit pas d'incriminer telle ou telle politique économique mise en oeuvre ces dernières années, ou alors il s'avère nécessaire de "remonter" 30 ou 40 années en arrière.

Je prends le pari aujourd'hui, que le fond du gouffre à venir et la fin de la glissade vers le bas de ce W, se situeront, dans l"échelle du temps, aux alentours du printemps 2015; apparaîtront alors les premières hirondelles annonciatrices d'un retournement de Conjoncture.

Toutefois il est impératif de mettre en place dès à présent, une politique Economique et Sociale radicalement différente de celle existante, sinon le "printemps" sus-évoqués sera un "printemps de Prague".

Le Chancelier SCHROEDER l' a fait en son temps, sachant qu'il se sacrifiait et perdrait les Elections qui s'annonçaient.

De la sorte, il a permis à l'Allemagne de devenir la "Championne" Européenne d'aujourd'hui.

je suis convaincu, que les hommes politiques au "Pouvoir",ont un sens du "Devoir",qui les conduira à instituer des réformes à la "SCHROEDER".

En matière d'Elections à venir, la mise en oeuvre du processus ci-dessus correspond à un suicide conscient en termes de carrière.

Etre imprégné du "SENS DE L'ETAT"implique parfois le suicide politique, mais interdit aussi aux "Successeurs" de s'éloigner de la ligne conductrice tracée, au risque d'être bannis, cela pour le plus grand Bien de la Nation.

La Chancelière Angella MERCKEL en sait quelque chose.

Avec les fruits de la politique menée par son prédécesseur, elle pourrait "dépenser" à tout va, mais bien au contraire, elle reste un fidèle comptable des deniers accumulés.

Dans ce sens sa politique economique, permet à l'Etat Allemand de dépenser pour son fonctionnement environ 30% de moins, que la France qui compte 20 millions de citoyens de moins que l'Allemagne!

Suivons l'exemple et la morale restera sauve......

 

Gérard BURGGRAF - Blog: observateureconomique.com 



 

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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 02:01

Le schiste n'est autre chose que de la roche feuilletée sédimentaire ou métamorphique.

La France en regorge au même titre que beaucoup d'autres pays.

La technologie actuelle permet de transformer cette roche feuilletée en gaz, donc en matière première énergétique.

Cette roche se situe en générale entre 2.000 mètres et 3.000 mètres de profondeur.

Les Etats-Unis, le Canada et de plus en plus de pays procèdent à son exploitation.

LA FRANCE N'A RIEN DECIDE POUR L'INSTANT.

Pourquoi?

Les ECOLOGISTES purs et durs y sont formellement opposés.

Ils préfèrent que l'ensemble des Français paient une "note" énergétique de 69 milliards/an-(donnée 2012).

L'exploitation du gaz de schiste permettrait de réduire de moitié cette facture, soit un montant de l'ordre de 35 milliars!!!

il me semble bon de rappeller que 1 point de croissance (en plus ou en moins) vaut en France 10 milliards, 35 milliards convertis en points de croissance valent donc 3,5 points.

comme une prévision réaliste me laisse à penser qu'en France, la croissance sera négative de -1% en 2013,il ne faut pas être docteur en mathématiques pour comprendre le calcul suivant:

- 1%+3,5%=+2,5%, telle se présenterait la perspective de croissance en France, dans ce cas de figure en 2013.

Observation et non des moindres:

Tout économiste compétent et averti vous indiquera que la France avec 2,5% de croissance verra décroître significativement le mal endémique du chômage.

En complément, une inflation de l'ordre de 2% l'an, fait partie des paramètres de relance d'une économie (dixit Maurice ALLAIS).

Ces deux seuls facteurs éviteraient pour les années à venir la mise en place de plans d'austérité qui ne plaident certainement pas pour un réveil réel de l'Economie.

Pour être complet, je dois dire que l'inflation précitée affaiblirait l' Euro dont, la parité, tout particulièrement contre le dollar, voisinerait les 1,10/1 en lieu et place des 1,37/1euros.

Encore faudrait-il que nous ne soyons pas pris au piège de la sacro-sainte "Europe financière" dont le "garde" est la BCE, sous coupe de l'Allemagne, nantie d' intérêts financiers très divergents des nôtres.

Faisons donc "l'Europe à 40", ainsi les négociations et "accord de violons" se feront encore plus vite et plus simplement!!!

 

Gérard BURGGRAF  observateureconomique.com

 

 

 

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 23:52

Dans l'ensemble des discours tenus, tant par la classe Politique que par les Journalistes, on tient rarement compte de deux facteurs fondamentaux qui régissent toute Economie, à savoir:

1-A moins de 2,5% de croissance, point de diminution du chômage.

2-Aucune politique monnétaire ne peut être découplée d'une politique budgétaire, or actuellement la politique monnétaire est décidée et orientée par "Bruxelles", alors que les politiques "Budgétaires" menées, ont pour origine des décisions "Nationales".

La présente méthode mène à de criantes incohérences et à des difficultés insurmontables!

Que tous les scripteurs se souviennent de ces deux règles fondamentales, leurs écrits gagneront en crédibilité.

 

Gérard BURGGRAF  observateureconomique.over-blog.com

 

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7 août 2012 2 07 /08 /août /2012 14:49

Je me réfère à mon article précédent ou j'annonçais le déclin irrémédiable de la BCE,du fait d'une Gouvernance non orthodoxe, annoncée par son Président.

Ayant écouté avec attention le discours du Président DRAGHI,il ne fait pas de doute que son intention est bien de racheter des Dettes Souveraines, ce qui ne correspond pas à la vocation de la BCE.

Un petit bémol toutefois, la "langue de bois" a été utilisée à outrance pour délivrer l'indication précitée (je ferai......je ne ferai pas....... je ferai peut-être.......je ferai suivant les circonstances........)!!

Pourquoi cette "langue de bois"? Alors que Monsieur DRAGHI A POUR HABITUDE D'ETRE CLAIR ET NET, TANT DANS SON EXPRESSION QUE DANS SES ACTES, QUI SONT SOUVENT TRES INCISIFS.

Pour une bonne et simple raison:

Après ses déclarations particulièrement libérales de la semaine précédente, le Président de la BCE s'est fait vertement interpeller par la Chancelière MERKEL, lui rappelant le rôle précis de la BCE, exclu normalement des rachats de Dettes Souveraines, quand bien même cela se ferait sur le " Second Marché".

Le Président DRAGHI a donc été contraint de réviser la teneur de son discours, tout en ne capitulant pas sur ses intentions premières (rachat de dettes souveraines).

Sur le fond il a raison et tort à la fois.

Raison à court terme.

Tort à moyen terme (voir mon article précédent celui-ci)

Conclusion:

l'EUROPE, n'est plus en mesure de bâtir des solutions "long terme", car la maison brûle et le "sauve qui peut" est le "salut" très temporaire, avant son éclatement.

 

Gérard BURGGRAF  observateureconomique

 




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2 août 2012 4 02 /08 /août /2012 13:56

Il va soulever des espoirs à l'aide d'un système qui dénature complètement le rôle de la BCE et à terme occasionnera sa perte.

Je m'en expliquerai dans un prochain article.

Ecoutons dans les minutes qui viennent le Président de la BCE....

 

Gérard BURGGRAF observateureconomique

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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 23:38

La lucidité implique que, d'ici la fin de l'année 2014, le glas pour la fin de l'Europe aura sonné.

Non pas pour cause d'absence de volonté politique,mais très simplement pour cause de refus des populations de subir des "plans de rigueur", qui ressemblent plutôt à des "plans d'égorgement".

Il faut espérer que ce refus se traduira par un "non" catégorique dans les urnes, et non, par des soulèvement qui sonnent en général la fin des démocraties pour faire place à des régimes autoritaires, voir totalitaires.

Tous les facteurs Economiques sont malheureusement réunis pour que la projection précitée se réalise.

En revanche la fin du processus engagé voici 60 ans par feu Robert SCHUMAN, ne correspondra pas, et heureusement, à une longue période de régression.

On ne peut nier une prévision de 2 ou 3 années chaotiques sur le plan social et économique, le temps de la période "d'adaptation" à des moeurs sociaux-économiques plus simples et plus transparentes, sans pour autant revenir à des systèmes archaïques.

Le "franc" au français, le deutsch mark aux allemands, la lire aux italiens etc...accompagnés de dévaluations plus ou moins fortes, suivant la structure économique de chaque Nation.

Pour l'Allemagne une dévaluation de l'ordre de 10% est prévisible en prenant comme monnaie de référence l'USD,Pour l'Italie sensiblement plus, etc....

Ne vaut-il pas mieux 2 ou 3 années troublées et difficiles, que de successifs "plans de rigueur" qui dureront vraisemblablement une dizaine d'années, voir plus?

L'auto-régulation, quant aux forces économiques en présence, se fera toute seule et donnera naissance à un classement, dont les têtes de liste correspondront aux pays les mieux organisés et les plus compétitifs.

Aux citoyens d'élire à la tête de leur Nation, des dirigeants avisés sur le plan économique, assez matures et désintèressés, pour mener des politiques socialement supportables.Il est vrai que la difficulté consiste à trouver ces oiseaux rares, qui toutefois existent!

Je ne vise pas le "protectionnisme" en matière d'échanges ou le " chacun pour soi", cela serait donner dans l'archaïsme précité.

j'entend que les plus forts mènent leur "barque" comme ils le souhaitent et qu'un "Fonds de Secours Mondial" soit instauré pour soutenir et aider à se développer les plus faibles.Ce fonds seraient alimenter par une taxe "TOBIN" modernisée et gérée pour exemple par le FMI., la contribution se ferait au prorata du PIB de chaque contributeur, sachant que sous un certain seuil un pays deviens le bénéficiaire.

la Grande Bretagne est l'exemple d'un pays "type" qui a conservé sa monnaie et qui pour autant "commerce" et "échange" sur le plan Mondial.

Le système précité aura le mérite d'éviter toute frustration des uns et des autres.

Les plus "riches" sauront qu'ils sont soumis civiquement et légalement, à hauteur non confiscatoire et supportable,à aider les pays les plus démunis, ces derniers ne ressentant aucune frustration, car ils auront préalablement participé à l'élaboration de la fixation du pourcentage de contribution des pays nantis.

Après cela, à chacun de "budgéter", en fonction du système de compétitivité qu'il aura mis en place et de la croissance qu'il aura su générer.

Le "marxisme européen" qui consistait à vouloir mettre sur un pied d'égalité pays riches et pays pauvres aura vécu.

Le "Marxisme" est une bien belle théorie mais l'"Histoire" a prouvé que c'était une "idée" non applicable dans la réalité!!

Monsieur SCUMAN, je mesure parfaitement la bonté et le sens de l'équité qui vous animaient, je suis toutefois persuadé que vous étiez un utopiste sincère.

Vous avez très certainement, par pur oubli, ignoré l'Ego et la "Voracité" du Genre Humain.

Amen dirai-je.

 

Gérard BURGGRAF  observateureconomique 



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