Je demande à mes lecteurs de bien vouloir relire mon article publié le 21 mai 2012 avec pour titre "les prémices de la chute du secteur immobilier, appartements et maisons individuelles".
Ce jour 20 novembre 2013 je n'ai pas grand chose à ajouter à l'article du 21 mai 2012!
Sinon qu'au moment présent, les investisseurs ont totalement déserté le "marché" de l'investissement pour de pures raisons fiscales et une règle de limitation des loyers dont nul ne connaît la teneur.
Les primo-accédant n'ont plus les moyens d'acquérir, sauf à mettre en place une "prime" à l'acquisition du "type" prime à la casse pratiquée il fût un temps pour l'automobile.
La différence fondamentale entre ces deux primes est que celle pour l'immobilier aurait un effet positif assez pérenne (2 à 3 ans) car le bâtiment a comme spécificité de correspondre à un cycle long sachant que 100.000 logements à construire génèrent 200.000 emplois à temps pleins pour une durée d'environ 24 mois.
je laisse le soin aux "technocrates" de calculer le différentiel de coût entre un chômeur et une prime à l'acquisition de l'ordre de 30.000 euros.
J'ai fait le calcul, le résultat est édifiant!
Voici une mesure qui très rapidement produirait une sèrieuse économie budgétaire.
Gérard BURGGRAF
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